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Note moyenne de cet épisode: 18.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 4
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russel 
18.0
18.0
Episode sans véritables coups d'éclats mais au sein duquel tous les segments sont si remarquablement huilés que ça force l'admiration. Elle a quand même une putain de dégaine cette série.
On réintègre Terry avec joie d'autant que le personnage subit la même politique jusqu'au boutiste du clan Donovan. Il veut expier ses fautes et il va le faire sans s'épargner d'encaisser les coups. On peut sans trop de mal faire le parallèle avec Ray qui lui aussi a décidé de ménager ses principes en donnant de sa personne sans compter (passage à tabac final). Ca sent bon l'autodestruction extrémiste. Les deux autres rejetons Donovan morflent aussi mais avec une passivité confondante. Bunchy en stage maso avec sa catcheuse mexicaine et Darryl en éternelle victime de son père indigne, toujours incapable de lui dire non après l'énième coup foireux. Chaque personnage réitère les mêmes bêtises avec une constance désarmante, prisonnier de ses travers mais en augmentant toujours un peu plus la dose. On se doute que Mickey va encore déconner à plein tube, mais contrairement à ses fistons, tout lui glisse dessus, rien ne l'atteint dans sa routine de survie individualiste. Au fond du trou le mec repart de plus belle comme si de rien n'était. Sacré phénomène et que le rôle colle bien à John Voight...
Katie Holmes assure ce que j'attendais de sa part et commence à bien remplir le contrat dans son registre fille à papa manipulatrice et capricieuse. Je ne crois pas un instant à l'agence Avi Lena. En revanche j'aimerais bien qu'ils épaississent enfin le personnage de Lena qui mérite mieux que le rôle de la simple assistante chafouine et mal lunée. Ca devient un peu comique à la maison de Ray, avec une Abby toujours complètement délirante qui ne demande qu'à exploser. A l'image de tous les autres personnages en montée de pression de toute façon. Si cette troisième saison de Ray Donovan se concevait comme l'ultime, cela pourrait donner un merveilleux feu d'artifice assez furieux. En tout cas tous les ingrédients pour sont réunis...
"That's the power of love"
On réintègre Terry avec joie d'autant que le personnage subit la même politique jusqu'au boutiste du clan Donovan. Il veut expier ses fautes et il va le faire sans s'épargner d'encaisser les coups. On peut sans trop de mal faire le parallèle avec Ray qui lui aussi a décidé de ménager ses principes en donnant de sa personne sans compter (passage à tabac final). Ca sent bon l'autodestruction extrémiste. Les deux autres rejetons Donovan morflent aussi mais avec une passivité confondante. Bunchy en stage maso avec sa catcheuse mexicaine et Darryl en éternelle victime de son père indigne, toujours incapable de lui dire non après l'énième coup foireux. Chaque personnage réitère les mêmes bêtises avec une constance désarmante, prisonnier de ses travers mais en augmentant toujours un peu plus la dose. On se doute que Mickey va encore déconner à plein tube, mais contrairement à ses fistons, tout lui glisse dessus, rien ne l'atteint dans sa routine de survie individualiste. Au fond du trou le mec repart de plus belle comme si de rien n'était. Sacré phénomène et que le rôle colle bien à John Voight...
Katie Holmes assure ce que j'attendais de sa part et commence à bien remplir le contrat dans son registre fille à papa manipulatrice et capricieuse. Je ne crois pas un instant à l'agence Avi Lena. En revanche j'aimerais bien qu'ils épaississent enfin le personnage de Lena qui mérite mieux que le rôle de la simple assistante chafouine et mal lunée. Ca devient un peu comique à la maison de Ray, avec une Abby toujours complètement délirante qui ne demande qu'à exploser. A l'image de tous les autres personnages en montée de pression de toute façon. Si cette troisième saison de Ray Donovan se concevait comme l'ultime, cela pourrait donner un merveilleux feu d'artifice assez furieux. En tout cas tous les ingrédients pour sont réunis...
"That's the power of love"
"Elle a quand même une putain de dégaine cette série." Word! (j'ai pas lu le reste, j'évite les spoilers)
